Lors de la traditionnelle cérémonie du 1er novembre, élus et associations patriotiques s’étaient donné rendez-vous au cimetière marin. Après le discours du général Martin, président de la section tropézienne du Souvenir français, le maire Jean-Pierre Tuveri a souligné le sens qu’il faut donner à cette manifestation.  « A l’unisson de la communauté nationale, Saint-Tropez honore aujourd’hui la mémoire de ceux qui ont donné leur vie pour notre Patrie ainsi que pour la défense des valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité, qui sont le fondement de notre République. Comme l’a souligné le général Martin, Saint-Tropez, petite ville de Provence, a payé un lourd tribut aux deux conflits mondiaux qui ont marqué si profondément le siècle dernier. Il convient de le rappeler et de se souvenir que le jour même de la libération de Saint-Tropez, le 15 août 1944, certains Tropéziens qui ont participé à la libération de notre ville l’ont payé de leur vie. C’est lé  tout le sens de la cérémonie que nous organisons à la citadelle tous les 15 août ».

« Pour autant, de nombreux conflits agitent encore le monde, menaçant ici et lé  les valeurs que nous défendons, a dit le maire. C’est au nom de ces valeurs que la France reste toujours engagée sur des théâtres d’opération extérieurs, participant à des actions entreprises par la communauté internationale. Au 21 septembre 2015, le ministère de la Défense indiquait que près de 7 000 militaires français étaient engagés sur différents théâtres d’opérations, dont : 3 500 hommes au titre de l’opération Barkhane, principalement basés au Mali aux côtés de la MINUSMA, la Mission des Nations Unies au Mali,   900 hommes dans le cadre de l’opération Sangaris, faisant suite à une décision du Conseil de sécurité des Nations Unies qui vise à éviter une catastrophe humanitaire en République Centrafricaine, 900 hommes au titre de l’opération Daman qui contribue à maintenir la paix au Sud Liban dans le cadre de la FINUL, Force intérimaire des Nations Unies au Liban, 700 hommes dans le cadre de l’opération Chammal, qui consiste à frapper des cibles appartenant au groupe terroriste autoproclamé Daech en Irak et en Syrie, et à fournir un appui aérien aux forces armées loyalistes en Irak. A cela, il faut encore ajouter 700 hommes déployés dans l’océan Indien et dans le golfe de Guinée, aux titres des opérations Atalante et Corymbe, pour lutter contre la piraterie maritime. Je vous remercie d’avoir une pensée pour tous ceux qui risquent leur vie au quotidien dans le cadre ces opérations ».

Avant les dépôts de gerbe, le premier magistrat a remercié le général Martin,  président du Souvenir français, ainsi que les membres des associations patriotiques et les porte-drapeaux pour leur dévouement et leur grande disponibilité. « Sans vous il serait impossible d’entretenir le souvenir de celles et ceux qui sont morts pour la France », a ajouté Jean-Pierre Tuveri.

Avant de conclure : « Se souvenir pour ne pas sombrer dans l’oubli. Tirer les leçons de l’histoire et du passé pour essayer de construire un avenir meilleur pour nos enfants et les générations futures ».

Image 2 - 1er novembre : « se souvenir pour ne pas sombrer dans l’oubli»

Image 3 - 1er novembre : « se souvenir pour ne pas sombrer dans l’oubli»

Image 4 - 1er novembre : « se souvenir pour ne pas sombrer dans l’oubli»

Lors de la traditionnelle cérémonie du 1er novembre, élus et associations patriotiques s’étaient donné rendez-vous au cimetière marin. Après le discours du général Martin, président de la section tropézienne du Souvenir français, le maire Jean-Pierre Tuveri a souligné le sens qu’il faut donner à cette manifestation.  « A l’unisson de la communauté nationale, Saint-Tropez honore aujourd’hui la mémoire de ceux qui ont donné leur vie pour notre Patrie ainsi que pour la défense des valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité, qui sont le fondement de notre République. Comme l’a souligné le général Martin, Saint-Tropez, petite ville de Provence, a payé un lourd tribut aux deux conflits mondiaux qui ont marqué si profondément le siècle dernier. Il convient de le rappeler et de se souvenir que le jour même de la libération de Saint-Tropez, le 15 août 1944, certains Tropéziens qui ont participé à la libération de notre ville l’ont payé de leur vie. C’est là tout le sens de la cérémonie que nous organisons à la citadelle tous les 15 août ».

« Pour autant, de nombreux conflits agitent encore le monde, menaçant ici et là les valeurs que nous défendons, a dit le maire. C’est au nom de ces valeurs que la France reste toujours engagée sur des théâtres d’opération extérieurs, participant à des actions entreprises par la communauté internationale. Au 21 septembre 2015, le ministère de la Défense indiquait que près de 7 000 militaires français étaient engagés sur différents théâtres d’opérations, dont : 3 500 hommes au titre de l’opération Barkhane, principalement basés au Mali aux côtés de la MINUSMA, la Mission des Nations Unies au Mali,   900 hommes dans le cadre de l’opération Sangaris, faisant suite à une décision du Conseil de sécurité des Nations Unies qui vise à éviter une catastrophe humanitaire en République Centrafricaine, 900 hommes au titre de l’opération Daman qui contribue à maintenir la paix au Sud Liban dans le cadre de la FINUL, Force intérimaire des Nations Unies au Liban, 700 hommes dans le cadre de l’opération Chammal, qui consiste à frapper des cibles appartenant au groupe terroriste autoproclamé Daech en Irak et en Syrie, et à fournir un appui aérien aux forces armées loyalistes en Irak. A cela, il faut encore ajouter 700 hommes déployés dans l’océan Indien et dans le golfe de Guinée, aux titres des opérations Atalante et Corymbe, pour lutter contre la piraterie maritime. Je vous remercie d’avoir une pensée pour tous ceux qui risquent leur vie au quotidien dans le cadre ces opérations ».

Avant les dépôts de gerbe, le premier magistrat a remercié le général Martin,  président du Souvenir français, ainsi que les membres des associations patriotiques et les porte-drapeaux pour leur dévouement et leur grande disponibilité. « Sans vous il serait impossible d’entretenir le souvenir de celles et ceux qui sont morts pour la France », a ajouté Jean-Pierre Tuveri.

Avant de conclure : « Se souvenir pour ne pas sombrer dans l’oubli. Tirer les leçons de l’histoire et du passé pour essayer de construire un avenir meilleur pour nos enfants et les générations futures ».

Image 2 - 1er novembre : « se souvenir pour ne pas sombrer dans l’oubli»

Image 3 - 1er novembre : « se souvenir pour ne pas sombrer dans l’oubli»

Image 4 - 1er novembre : « se souvenir pour ne pas sombrer dans l’oubli»