Conversation d’Agnès avec Sophie Galabru
Les Conversations d’Agnès et l’Hôtel de Paris Saint-Tropez reçoivent Sophie Galabru, auteur de « Nos dernières fois - Défier la nostalgie».
Sophie Galabru : « Nos dernières fois » ne sont pas forcément des fins.
« Nos dernières fois » est un très beau Titre. Mieux, un bon titre. Immédiatement il interpelle, immédiatement il nous évoque quelque chose, immédiatement il nous embarque. Des dernières fois, nous en avons toutes (et tous) connues. Des dernières fois programmées, des dernières fois décidées, des dernières fois subies, des dernières fois qui ne sont pas des fins, des dernières fois irréversibles, mais tout instant - dans une vie - n’est-il pas irréversible ?
C’est le propre du Temps, à l’inverse de l’espace. Jamais nous ne nous baignons dans le même fleuve.
Faut-il pour autant en être nostalgique ? Pas forcément. Certaines dernières fois annoncent un nouveau départ, libèrent, marquent un avant et un après, un après à partir duquel se ré-inventer d’où le sous-titre de ce troisième opus : Défier la nostalgie.
La nostalgie, Sophie Galabru connait ou a connu, des parents un brin mélancoliques, des départs, un divorce, des maisons de familles qui se sont éloignées, des deuils, bref autant de petites douleurs et de grandes tristesses qui ont ancré cette jeune femme dans des questionnements sérieux. Des questionnements d’agrégée de philo, des questionnements de petite-fille de Michel Galabru, cette masse de drôlerie et de gravité, des questionnements de fille de Jean, le fils sensible de Michel, des questionnement de femme. Ce qu’elle est pleinement. Alignée dans sa recherche et qui nous revient après deux premiers livres : « Le visage de nos colères » et « Faire famille » pour lequel nous l’avions reçue l’an passé. Cette année, elle ré-apparait avec ce que j’appelle un essai vrai comme un roman vrai qui parle autant d’elle que de nous. Un livre personnel écrit à l’encre de l’émotion et traversé de bout en bout par le mot : Vitalité.
« Nos dernières fois » est un très beau Titre. Mieux, un bon titre. Immédiatement il interpelle, immédiatement il nous évoque quelque chose, immédiatement il nous embarque. Des dernières fois, nous en avons toutes (et tous) connues. Des dernières fois programmées, des dernières fois décidées, des dernières fois subies, des dernières fois qui ne sont pas des fins, des dernières fois irréversibles, mais tout instant - dans une vie - n’est-il pas irréversible ?
C’est le propre du Temps, à l’inverse de l’espace. Jamais nous ne nous baignons dans le même fleuve.
Faut-il pour autant en être nostalgique ? Pas forcément. Certaines dernières fois annoncent un nouveau départ, libèrent, marquent un avant et un après, un après à partir duquel se ré-inventer d’où le sous-titre de ce troisième opus : Défier la nostalgie.
La nostalgie, Sophie Galabru connait ou a connu, des parents un brin mélancoliques, des départs, un divorce, des maisons de familles qui se sont éloignées, des deuils, bref autant de petites douleurs et de grandes tristesses qui ont ancré cette jeune femme dans des questionnements sérieux. Des questionnements d’agrégée de philo, des questionnements de petite-fille de Michel Galabru, cette masse de drôlerie et de gravité, des questionnements de fille de Jean, le fils sensible de Michel, des questionnement de femme. Ce qu’elle est pleinement. Alignée dans sa recherche et qui nous revient après deux premiers livres : « Le visage de nos colères » et « Faire famille » pour lequel nous l’avions reçue l’an passé. Cette année, elle ré-apparait avec ce que j’appelle un essai vrai comme un roman vrai qui parle autant d’elle que de nous. Un livre personnel écrit à l’encre de l’émotion et traversé de bout en bout par le mot : Vitalité.
Samedi 12 juillet 2025 jusqu'à 19h30.
Gratuit.
Hôtel de Paris - Saint-Tropez
1, Traverse de la Gendarmerie
Saint-Tropez